Investing.com - Les places d'Asie étaient largement en forme ce lundi matin, le moral se trouvant regonflé par l'espir que les élus des Etats-Unis trouvent un compromis afin d'éviter les problèmes fiscaux qui assombrissent l'atmosphère.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.7%, l'ASX/200 australien 0.6% et le Nikkei 225 japonais 1.4%.
L'attention demeure en effet focalisée sur la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Le moral est toutefois revenu après que les dirigeants des groupes parlementaires américains aient déclaré que leur rencontre de vendredi avec le président Barack Obama destinée à éviter une crise de la fiscalité avait été "constructive".
Certains craignent en effet que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
Tokyo a ainsi clôturé au plus haut des deux derniers mois, tirée vers le haut par la faiblesse d'un yen plongeant dans un creux de sept mois face au dollar U.S. et redonnant ainsi du baume au coeur des exportateurs.
Celui-ci se trouve sur la sellette en raison des craintes selon lesquelles Shinzo Abe, chef de l'opposition, remporte les prochaines élections, après avoir déclaré vouloir que la Banque du Japon adopte des taux d'intérêt nuls voire négatifs afin d'encourager les emprunts.
Hong Kong avançait plus prudemment, profitant de la grande forme des producteurs de pétrole, dont les cours ont dépassé ce matin les 88 USD à New York, en raison des craintes causées par les violences déchirant le Moyen-Orient.
Sydney suivait le mouvement mais restait cependant sans éclat.
La bande des quatre plus grosses banques nationales était mitigée, la Commonwealth Bank of Australia, première du lot, trébuchant de 0.2% tandis que la National Australia Bank s'élevait de 0.7%.
Les valeurs minières évoluaient aussi en rangs dispersés, le mastodonte BHP Billiton engrangeant 0.85% tandis que son rival Rio Tinto chutait de 0.35%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, grâce à l'espérance d'un contournement du mur fiscal.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 1.1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 1.2%, celles sur le DAX 30 allemand à 1.1% et sur le FTSE 100 britannique à 0.8%.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler aujourd'hui leur volume des ventes de logements d'occasion en cours.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.7%, l'ASX/200 australien 0.6% et le Nikkei 225 japonais 1.4%.
L'attention demeure en effet focalisée sur la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Le moral est toutefois revenu après que les dirigeants des groupes parlementaires américains aient déclaré que leur rencontre de vendredi avec le président Barack Obama destinée à éviter une crise de la fiscalité avait été "constructive".
Certains craignent en effet que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
Tokyo a ainsi clôturé au plus haut des deux derniers mois, tirée vers le haut par la faiblesse d'un yen plongeant dans un creux de sept mois face au dollar U.S. et redonnant ainsi du baume au coeur des exportateurs.
Celui-ci se trouve sur la sellette en raison des craintes selon lesquelles Shinzo Abe, chef de l'opposition, remporte les prochaines élections, après avoir déclaré vouloir que la Banque du Japon adopte des taux d'intérêt nuls voire négatifs afin d'encourager les emprunts.
Hong Kong avançait plus prudemment, profitant de la grande forme des producteurs de pétrole, dont les cours ont dépassé ce matin les 88 USD à New York, en raison des craintes causées par les violences déchirant le Moyen-Orient.
Sydney suivait le mouvement mais restait cependant sans éclat.
La bande des quatre plus grosses banques nationales était mitigée, la Commonwealth Bank of Australia, première du lot, trébuchant de 0.2% tandis que la National Australia Bank s'élevait de 0.7%.
Les valeurs minières évoluaient aussi en rangs dispersés, le mastodonte BHP Billiton engrangeant 0.85% tandis que son rival Rio Tinto chutait de 0.35%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, grâce à l'espérance d'un contournement du mur fiscal.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 1.1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 1.2%, celles sur le DAX 30 allemand à 1.1% et sur le FTSE 100 britannique à 0.8%.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler aujourd'hui leur volume des ventes de logements d'occasion en cours.