Investing.com - Les places d'Asie étaient mitigées ce lundi matin, le goût pour les valeurs audacieuses se trouvant magnifié par l'espoir d'un accord concernant le paiement des aides attendues par la Grèce.
Le moral était aussi renforcé par l'hypothèse que les consommateurs dépenseraient davantage au cours des fêtes de fin d'année aux Etats-Unis, un marché crucial pour l'export.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.3%, tandis que l'ASX/200 australien progressait de 0.25% et le Nikkei 225 japonais 0.2%.
Le Fonds Monétaire International, les ministres des finances de l'Eurogroupe et les représentants de la Banque Centrale Européenne comptaient se réunir aujourd'hui afin de débloquer la bouée de sauvetage destinée à Athènes.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait déclaré qu'un compromis pourrait être trouvé à cette occasion, tandis que Pierre Moscovici, chargé des caisses de l'état français, estimait en fin de semaine que le but était proche.
Tokyo a bondi vers un sommet de sept mois en cours de session, encouragée par la faiblesse du yen, qui se maintenait aux abords d'un creux des huit passés face au dollar U.S. et des sept derniers par rapport à l'euro.
Une telle évolution entraîne mécaniquement une diminution des prix des marchandises écoulées à l'étranger et une augmentation de la valeur des profits ainsi générés.
La devise du pays du soleil levant demeurait sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition, lors des élections législatives du 16 décembre, celui-ci ayantt récemment déclaré vouloir que la Banque du Japon adopte des taux nuls, voire négatifs, afin d'encourager le crédit.
Les constructeurs automobiles Nissan et Toyota ont du coup respectivement grimpé de 2.3 et 1.7%, suivis par Pioneer Corp avec 4.1%.
Renesas Electronics, fabricant de puces électroniques en difficulté, s'est envolé de 16.6% après que le jourrnal Nikkei ait affirmé qu'un fonds soutenu par le gouvernement en acquerrait les deux tiers.
Hong Kong se troivait par contre sur la défensive, handicapée par les faibles performances continentales.
La compagnie aérienne Cathay Pacific a ainsi plongé de 1% après avoir averti dans la soirée de vendredi que le volume des passagers de première classe avait souffert par rapport à l'année dernière, en raison des difficultés économiques mondiales.
Sydnet suivait quand à elle son petit bonhomme de chemin lors d'échanges sans heurts.
Les quatre plus grosses banques du pays ne dégageaient pas de tendance claire, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, gagnant 0.3% tandis que le Westpac Banking Group dérapait de 0.7%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.15%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.15% et sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
L'Allemagne comptait d'autre part fournir en cours de journée le baromètre du moral de ses consommateurs établi par le groupe de recherches économiques Gfk.
Le moral était aussi renforcé par l'hypothèse que les consommateurs dépenseraient davantage au cours des fêtes de fin d'année aux Etats-Unis, un marché crucial pour l'export.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.3%, tandis que l'ASX/200 australien progressait de 0.25% et le Nikkei 225 japonais 0.2%.
Le Fonds Monétaire International, les ministres des finances de l'Eurogroupe et les représentants de la Banque Centrale Européenne comptaient se réunir aujourd'hui afin de débloquer la bouée de sauvetage destinée à Athènes.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait déclaré qu'un compromis pourrait être trouvé à cette occasion, tandis que Pierre Moscovici, chargé des caisses de l'état français, estimait en fin de semaine que le but était proche.
Tokyo a bondi vers un sommet de sept mois en cours de session, encouragée par la faiblesse du yen, qui se maintenait aux abords d'un creux des huit passés face au dollar U.S. et des sept derniers par rapport à l'euro.
Une telle évolution entraîne mécaniquement une diminution des prix des marchandises écoulées à l'étranger et une augmentation de la valeur des profits ainsi générés.
La devise du pays du soleil levant demeurait sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition, lors des élections législatives du 16 décembre, celui-ci ayantt récemment déclaré vouloir que la Banque du Japon adopte des taux nuls, voire négatifs, afin d'encourager le crédit.
Les constructeurs automobiles Nissan et Toyota ont du coup respectivement grimpé de 2.3 et 1.7%, suivis par Pioneer Corp avec 4.1%.
Renesas Electronics, fabricant de puces électroniques en difficulté, s'est envolé de 16.6% après que le jourrnal Nikkei ait affirmé qu'un fonds soutenu par le gouvernement en acquerrait les deux tiers.
Hong Kong se troivait par contre sur la défensive, handicapée par les faibles performances continentales.
La compagnie aérienne Cathay Pacific a ainsi plongé de 1% après avoir averti dans la soirée de vendredi que le volume des passagers de première classe avait souffert par rapport à l'année dernière, en raison des difficultés économiques mondiales.
Sydnet suivait quand à elle son petit bonhomme de chemin lors d'échanges sans heurts.
Les quatre plus grosses banques du pays ne dégageaient pas de tendance claire, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, gagnant 0.3% tandis que le Westpac Banking Group dérapait de 0.7%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.15%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.15% et sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
L'Allemagne comptait d'autre part fournir en cours de journée le baromètre du moral de ses consommateurs établi par le groupe de recherches économiques Gfk.