Investing.com - Les places d'Asie concluaient sur une note plutôt morose ce mercredi matin, la circonspection étant de rigueur dans l'optique pour la fin de journée du témoignage sur l'économie devant le congrès du chef de la banque centrale américaine.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,3% et le Hang Seng de Hong Kong 0,6%, tandi que le Nikkei 225 japonais grimpait de 1,6%.
Sydney subissait en effet des statistiques peu reluisantes portant sur l'humeur des particuliers.
La bande des quatre plus grosses banques nationales a suivi le mouvement, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, plongeant de 1%, l'ANZ Banking Group de 3,4% et la National Australia Bank de 1,1%.
Hong Kong s'éloignait encore pour sa part de son pic de trois mois établi en début de semaine alors que l'attention se focalisait sur les chiffres cruciaux concernant l'activité manufacturière de la Chine devant être diffusés demain.
La session du matin a d'autre part dû être annulée en raison d'une tempête touchant la ville.
Le poids lourd HSBC Holdings a aussi contribué à la tendance, sombrant de 1,7%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Tokyo bondissait par contre à son meilleur niveau depuis décembre 2007, après que la Banque du Japon ait revu à la hausse ses projections économiques nationales.
Elle a aussi confirmé son intention d'apporter annuellement entre 60 et 70 billions de JPY à la masse monétaire, ajoutant que ces mesures dureraient 'aussi longtemps que nécessaire" jusqu'à atteindre l'objectif des 2% d'inflation stables qu'elle s'est fixée.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 1,3%, tandis que le Sumitomo Mitsui Financial Group faisait de même avec 0,6%.
Sony s'envolait carrément de 6% après que Kyodo News ait fait savoir que le géant de l'électronique grand public envisageait de constituer une entité séparée à partir de sa lucrative branche divertissement.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui modérément pessimiste.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,2%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,1%, celles sur le DAX 30 allemand demeurant neutres alors que celles sur le FTSE 100 britannique envisageaient un faux pas de 0,1%.
Les yeux étaient désormais tournés vers l'audition imminente de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ainsi que vers la publication par cette dernière du compte-rendu de son plus récent conseil d'orientation.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,3% et le Hang Seng de Hong Kong 0,6%, tandi que le Nikkei 225 japonais grimpait de 1,6%.
Sydney subissait en effet des statistiques peu reluisantes portant sur l'humeur des particuliers.
La bande des quatre plus grosses banques nationales a suivi le mouvement, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, plongeant de 1%, l'ANZ Banking Group de 3,4% et la National Australia Bank de 1,1%.
Hong Kong s'éloignait encore pour sa part de son pic de trois mois établi en début de semaine alors que l'attention se focalisait sur les chiffres cruciaux concernant l'activité manufacturière de la Chine devant être diffusés demain.
La session du matin a d'autre part dû être annulée en raison d'une tempête touchant la ville.
Le poids lourd HSBC Holdings a aussi contribué à la tendance, sombrant de 1,7%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Tokyo bondissait par contre à son meilleur niveau depuis décembre 2007, après que la Banque du Japon ait revu à la hausse ses projections économiques nationales.
Elle a aussi confirmé son intention d'apporter annuellement entre 60 et 70 billions de JPY à la masse monétaire, ajoutant que ces mesures dureraient 'aussi longtemps que nécessaire" jusqu'à atteindre l'objectif des 2% d'inflation stables qu'elle s'est fixée.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 1,3%, tandis que le Sumitomo Mitsui Financial Group faisait de même avec 0,6%.
Sony s'envolait carrément de 6% après que Kyodo News ait fait savoir que le géant de l'électronique grand public envisageait de constituer une entité séparée à partir de sa lucrative branche divertissement.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui modérément pessimiste.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,2%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,1%, celles sur le DAX 30 allemand demeurant neutres alors que celles sur le FTSE 100 britannique envisageaient un faux pas de 0,1%.
Les yeux étaient désormais tournés vers l'audition imminente de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ainsi que vers la publication par cette dernière du compte-rendu de son plus récent conseil d'orientation.