Investing.com - Les places d'Asie étaient plutôt en forme ce mercredi matin, l'Australie profitant de bonnes performances pour s'élever au plus haut depuis plus de quatre ans, tandis que le Japon subissait le renforcement de sa devise.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien engrangeait 0.9%, et le Nikkei 225 japonais dérapait de 1%, les places de Hong Kong, de Chine et de Taïwan demeurant closes en raison des festivités du nouvel an lunaire.
Sydney s'est ainsi hissée à sa meilleure valeur depuis septembre 2008 après que la Commonwealth Bank of Australia ait revendiqué des rentrées dépassant tous les records.
Elle a du coup bondi de 2.5% pour atteindre son plus haut niveau historique grâce à 6% d'augmentation de ses profits ajustés et à la remontée de acompte sur dividende.
L'entrepreneur Leighton Holdings n'était pas en reste, s'envolant de 11.2% suite à sa sortie du rouge en 2012 et aux prévisions d'une amélioration supplémentaire en 2013.
Tokyo a quand à elle vu le coup d'arrêt à la dégringolade de sa monnaie pousser les investisseurs à engranger les plus-values découlent des bonnes performances récentes.
Le yen a en effet commencé à retrouver des couleurs face à ses homologues d'Europe et des Etats-Unis, après que le groupe des 7 pays les plus développés ait confirmé leur engagement à laisser le marché des changes évoluer librement.
Leur communiqué exprimait aussi leur souhait de ne pas établir d'objectifs de taux, avertissant aussi qu'une "volatilité excessive" pourrait avoir des "conséquences fâcheuses" pour la stabilité financière et économique.
Ces propos s'inscrivaient dans le contexte de l'orée de la réunion du G20 de vendredi, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
La prudence était aussi de mise à l'approche des conclusions du conseil de direction de la Banque du Japon qui s'achèvera demain.
L'USD/JPY s'est toutefois retrouvé à 93.1, s'éloignant ainsi de son pic à 94.45 établi la semaine passée.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se sont alors situées parmi les lanternes rouges, le regain de vigueur de l'unité monétaire de l'archipel affaiblissant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Mazda et Toyota perdaient ainsi respectiveent 2.75 et 1.8%, suivis de Canon et Sony avec 1.35 et 5.6%.
Parmi les proclamants, Pioneer plongeait de 10.6% suite à l'aveu de pertes probables pour l'année fiscale.
Olympus a pour sa part dérapé de 2.75% après avoir revu à la baisse ses projections annuelles en raison du manque de souffle des ventes d'appareils photo.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui peu reluisant, la prudence restant de rigueur à l'approche de la rencontre des ministres des finances du G20 en fin de semaine.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français restant stables, celles sur le DAX 30 allemand aussi et celles sur le FTSE 100 britannique tablant sur un faux pas de 0.3%.
Les autorités européennes dévoileront de leur côté aujourd'hui leurs chiffres de la production industrielle, et celles des Etats-Unis concluront la journée avec le volume de leurs ventes auprès des particuliers.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien engrangeait 0.9%, et le Nikkei 225 japonais dérapait de 1%, les places de Hong Kong, de Chine et de Taïwan demeurant closes en raison des festivités du nouvel an lunaire.
Sydney s'est ainsi hissée à sa meilleure valeur depuis septembre 2008 après que la Commonwealth Bank of Australia ait revendiqué des rentrées dépassant tous les records.
Elle a du coup bondi de 2.5% pour atteindre son plus haut niveau historique grâce à 6% d'augmentation de ses profits ajustés et à la remontée de acompte sur dividende.
L'entrepreneur Leighton Holdings n'était pas en reste, s'envolant de 11.2% suite à sa sortie du rouge en 2012 et aux prévisions d'une amélioration supplémentaire en 2013.
Tokyo a quand à elle vu le coup d'arrêt à la dégringolade de sa monnaie pousser les investisseurs à engranger les plus-values découlent des bonnes performances récentes.
Le yen a en effet commencé à retrouver des couleurs face à ses homologues d'Europe et des Etats-Unis, après que le groupe des 7 pays les plus développés ait confirmé leur engagement à laisser le marché des changes évoluer librement.
Leur communiqué exprimait aussi leur souhait de ne pas établir d'objectifs de taux, avertissant aussi qu'une "volatilité excessive" pourrait avoir des "conséquences fâcheuses" pour la stabilité financière et économique.
Ces propos s'inscrivaient dans le contexte de l'orée de la réunion du G20 de vendredi, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
La prudence était aussi de mise à l'approche des conclusions du conseil de direction de la Banque du Japon qui s'achèvera demain.
L'USD/JPY s'est toutefois retrouvé à 93.1, s'éloignant ainsi de son pic à 94.45 établi la semaine passée.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se sont alors situées parmi les lanternes rouges, le regain de vigueur de l'unité monétaire de l'archipel affaiblissant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Mazda et Toyota perdaient ainsi respectiveent 2.75 et 1.8%, suivis de Canon et Sony avec 1.35 et 5.6%.
Parmi les proclamants, Pioneer plongeait de 10.6% suite à l'aveu de pertes probables pour l'année fiscale.
Olympus a pour sa part dérapé de 2.75% après avoir revu à la baisse ses projections annuelles en raison du manque de souffle des ventes d'appareils photo.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui peu reluisant, la prudence restant de rigueur à l'approche de la rencontre des ministres des finances du G20 en fin de semaine.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français restant stables, celles sur le DAX 30 allemand aussi et celles sur le FTSE 100 britannique tablant sur un faux pas de 0.3%.
Les autorités européennes dévoileront de leur côté aujourd'hui leurs chiffres de la production industrielle, et celles des Etats-Unis concluront la journée avec le volume de leurs ventes auprès des particuliers.