Investing.com - Les bourses asiatiques ont chuté ce lundi, les exportateurs et la finance étant en lanternes rouges alors qu'augmentaient les craintes concernant les perspectives économiques américaines, poussant à éviter les investissements les plus risqués.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong plongeant de 2.7%, l'ASX/200 australien de 2.4% et le Nikkei 225 japonais de 1.9%.
La peur d'une perte de vitesse de la reprise économique mondiale s'était trouvée ravivée vendredi par le département d'état au travail des Etats-Unis, avouant que le nombre des postes hors agriculture n'avait pas évolué le mois dernier, constituant la plus faible performance depuis septembre 2010.
Les experts s'étaient pourtant attendus à le voir engranger 74 000 travailleurs supplémentaires, le taux de chômage restant pour sa part stable à 9.1%.
Les exportateurs japonais les plus dépendants de l'Amérique ont reculé en raison de la modération de leurs prévisions de recettes à l'étranger.
Sony, le géant de l'électronique, a ainsi dégringolé de 4%%, Elpida Memory, fournisseur de puces électroniques, de 4.75% et les constructeurs automobiles Honda et Toyota de respectivement 4.7 et 2.6%.
Nomura Holdings, plus grosse banque d'affairse nippone, a sombré de 4.65% après avoir été désignée comme un des 17 établissements financiers poursuivis par le gouvernement des Etats-Unis pour la vente de produits financiers adossés à des emprunts hypothécaires lors de la préparation de la crise de 2008.
Ces poursuites devraient avoir lieu devant la cour fédérale, et ont été annoncées après la fermeture des marchés américains de vendredi.
A Hong Kong, les producteurs d'or noir ont tiré les bourses vers le bas après que les cours soient tombés sur le marché aux matières premières de New York à 85.3 USD le baril, leur pire niveau en une semaine de cotation, diminuant du même coup leurs revenus potentiels.
Le géant des hydrocarbures PetroChina a ainsi dérapé de 2.9%, Sinopec de 2% et CNOOC, prospecteur de pétrole sous-marin, de 8.3%. après que l'agence d'administration maritime chinoise ait fait interrompre la production du champ de Penglai, au nord-est du pays, en raison d'une fuite.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une chute de 2.1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 2.15%, celles sur le DAX allemand à 1.95% et sur le FTSE 100 britannique à 1.75%.
La zone euro devrait dévoiler aujourd'hui le volume officiel des ventes au détail, ainsi que la croissance révisée du domaine des services et un rapport sur la confiance des investisseurs, tandis que les places boursières des Etats-Unis resteront inactives pour célébrer la fête du travail.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong plongeant de 2.7%, l'ASX/200 australien de 2.4% et le Nikkei 225 japonais de 1.9%.
La peur d'une perte de vitesse de la reprise économique mondiale s'était trouvée ravivée vendredi par le département d'état au travail des Etats-Unis, avouant que le nombre des postes hors agriculture n'avait pas évolué le mois dernier, constituant la plus faible performance depuis septembre 2010.
Les experts s'étaient pourtant attendus à le voir engranger 74 000 travailleurs supplémentaires, le taux de chômage restant pour sa part stable à 9.1%.
Les exportateurs japonais les plus dépendants de l'Amérique ont reculé en raison de la modération de leurs prévisions de recettes à l'étranger.
Sony, le géant de l'électronique, a ainsi dégringolé de 4%%, Elpida Memory, fournisseur de puces électroniques, de 4.75% et les constructeurs automobiles Honda et Toyota de respectivement 4.7 et 2.6%.
Nomura Holdings, plus grosse banque d'affairse nippone, a sombré de 4.65% après avoir été désignée comme un des 17 établissements financiers poursuivis par le gouvernement des Etats-Unis pour la vente de produits financiers adossés à des emprunts hypothécaires lors de la préparation de la crise de 2008.
Ces poursuites devraient avoir lieu devant la cour fédérale, et ont été annoncées après la fermeture des marchés américains de vendredi.
A Hong Kong, les producteurs d'or noir ont tiré les bourses vers le bas après que les cours soient tombés sur le marché aux matières premières de New York à 85.3 USD le baril, leur pire niveau en une semaine de cotation, diminuant du même coup leurs revenus potentiels.
Le géant des hydrocarbures PetroChina a ainsi dérapé de 2.9%, Sinopec de 2% et CNOOC, prospecteur de pétrole sous-marin, de 8.3%. après que l'agence d'administration maritime chinoise ait fait interrompre la production du champ de Penglai, au nord-est du pays, en raison d'une fuite.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une chute de 2.1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 2.15%, celles sur le DAX allemand à 1.95% et sur le FTSE 100 britannique à 1.75%.
La zone euro devrait dévoiler aujourd'hui le volume officiel des ventes au détail, ainsi que la croissance révisée du domaine des services et un rapport sur la confiance des investisseurs, tandis que les places boursières des Etats-Unis resteront inactives pour célébrer la fête du travail.