Investing.com - Les actions américaines ont conclu en quittant leurs piédestaux historiques, tirées vers le bas par l'ombre persistante des incertitudes concernant les orientations futures de la banque centrale des Etats-Unis.
Le Dow Jones a ainsi reculé de 0,47% pour terminer avec 1,5% de régression depuis lundi, le S&P 500 faisant de même avec 0,36%, laissant filer 1,1% hebdomadaires, tandis que le Nasdaq 100 leur emboîtait le pas avec 0,25% journaliers, pour un total de 0,8%.
Les propos tenus par de hauts responsables, y compris les directeurs des réserves fédérales de Chicago et Dallas, ont en effet laissé entendre qu'une diminution des coups de pouce pourrait être à l'ordre du jour dès leur réunion de septembre en cas de consolidation de la relance.
L'Europe profitait pour sa part qu'il ait été signalé vendredi que la production industrielle de la Chine avait dépassé les attentes en juillet et que l'inflation avait été constante.
Les chiffres du commerce extérieur diffusés la veille avaient aussi mis en relief des augmentations des importations et des exportations dans le même temps, dissipant ainsi le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Le CAC 40 français grimpait de 0,30%, le DAX 30 allemand de 0,24% et le FTSE 100 de pas moins de 0,82%, après qu'une étude ait souligné pour juin la réduction du déficit du commerce extérieur britannique à son plus bas niveau depuis près d'un an.
L'Asie était plus mitigée, l'ASX/200 australien se rétractant de 0,19%, alors que l'indice composite de Shanghaï chinois avançait de 0,40%, le Hang Seng 40 de Hong Kong de 0,70% et le Nikkei 225 japonais devait se contenter de 0,07%.
Sur le marché aux produits bruts de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont monnayés à 106,17 USD le baril, empochant 2,7% grâce à l'espoir d'un regain de la demande de la part de la Chine.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières new-yorkaise, les contrats sur l'or à échéance identique sont échangés à 1.313,50 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, frémissant de seulement 0,3% au cours de celle-ci.
Les informations officielles de la semaine prochaine sur le volume des ventes au détail, l'inflation à la consommation des Etats-Unis, ainsi que d'autres sur le domaine de l'immobilier et le secteur secondaire, seront surveillées comme le lait sur le feu.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Le Dow Jones a ainsi reculé de 0,47% pour terminer avec 1,5% de régression depuis lundi, le S&P 500 faisant de même avec 0,36%, laissant filer 1,1% hebdomadaires, tandis que le Nasdaq 100 leur emboîtait le pas avec 0,25% journaliers, pour un total de 0,8%.
Les propos tenus par de hauts responsables, y compris les directeurs des réserves fédérales de Chicago et Dallas, ont en effet laissé entendre qu'une diminution des coups de pouce pourrait être à l'ordre du jour dès leur réunion de septembre en cas de consolidation de la relance.
L'Europe profitait pour sa part qu'il ait été signalé vendredi que la production industrielle de la Chine avait dépassé les attentes en juillet et que l'inflation avait été constante.
Les chiffres du commerce extérieur diffusés la veille avaient aussi mis en relief des augmentations des importations et des exportations dans le même temps, dissipant ainsi le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Le CAC 40 français grimpait de 0,30%, le DAX 30 allemand de 0,24% et le FTSE 100 de pas moins de 0,82%, après qu'une étude ait souligné pour juin la réduction du déficit du commerce extérieur britannique à son plus bas niveau depuis près d'un an.
L'Asie était plus mitigée, l'ASX/200 australien se rétractant de 0,19%, alors que l'indice composite de Shanghaï chinois avançait de 0,40%, le Hang Seng 40 de Hong Kong de 0,70% et le Nikkei 225 japonais devait se contenter de 0,07%.
Sur le marché aux produits bruts de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont monnayés à 106,17 USD le baril, empochant 2,7% grâce à l'espoir d'un regain de la demande de la part de la Chine.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières new-yorkaise, les contrats sur l'or à échéance identique sont échangés à 1.313,50 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, frémissant de seulement 0,3% au cours de celle-ci.
Les informations officielles de la semaine prochaine sur le volume des ventes au détail, l'inflation à la consommation des Etats-Unis, ainsi que d'autres sur le domaine de l'immobilier et le secteur secondaire, seront surveillées comme le lait sur le feu.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.