Mardi, le stratège de BofA pour l'Afrique du Sud a donné un aperçu du sentiment du marché financier, révélant une position haussière sur les actions du pays. Un nombre significatif de 69 % des gestionnaires interrogés pensent que les actions sont sous-évaluées, une augmentation notable par rapport aux 50 % précédents. En revanche, 38 % d'entre eux estiment que les obligations sont sous-évaluées. En outre, 88 % des personnes interrogées considèrent qu'il y a plus d'opportunités d'achat que de vente sur le marché des actions.
Le marché anticipe l'annonce du budget national le 21 février, et 25 % s'attendent à ce qu'il soit décevant. Les inquiétudes portent notamment sur les performances des entreprises d'État et sur la baisse du bénéfice par action (BPA). Contrairement aux prévisions antérieures, la première baisse des taux d'intérêt est désormais attendue au troisième trimestre 2024, après ajustement par rapport au deuxième trimestre. Cet ajustement reflète une approche prudente de la politique monétaire.
Pour les 12 prochains mois, un plus grand nombre de dirigeants, 38 % contre 29 % précédemment, prévoient un léger renforcement de l'économie sud-africaine. Il y a également un fort consensus, avec 75 % des personnes interrogées, qui s'attendent à une légère baisse des taux d'inflation. Le taux de change USD/ZAR prévu pour l'année prochaine est fixé à 18,35, contre 17,73 précédemment. Le taux repo et le rendement des obligations d'État R2035 devraient s'établir respectivement à 7,50 % et 10,77 %, ce qui représente une légère augmentation par rapport aux estimations précédentes.
Le sentiment des investisseurs à l'égard des actions nationales est optimiste, avec un taux net élevé de 75 % de gestionnaires prêts à surpondérer les actions nationales au cours des 12 prochains mois. Cela marque un changement dans la confiance des consommateurs, puisque pour la première fois en six mois, 31 % des personnes interrogées pensent que le pire de l'impact des taux d'intérêt élevés et de l'inflation sur les dépenses de consommation est passé. Toutefois, les avis restent partagés sur le moment opportun pour investir dans des actifs sensibles aux taux d'intérêt, 50 % des personnes interrogées estimant qu'il est prématuré de le faire, probablement en raison de la persistance d'un taux de prise en pension élevé.
En ce qui concerne les préférences d'investissement, on observe un intérêt croissant pour les actifs offshore, 38 % des gestionnaires souhaitant investir à l'étranger. Les obligations et les actions locales ont suscité respectivement 25 % et 19 % de l'intérêt des investisseurs. Le poids des actions offshore a atteint un niveau record de 27 %, ce qui témoigne d'une stratégie de diversification des investissements. Les secteurs les plus favorisés pour l'année à venir sont les banques, les producteurs de denrées alimentaires, les soins de santé et les détaillants, tandis que l'or, les produits chimiques et les télécommunications sont les moins appréciés. Il est à noter que des secteurs auparavant délaissés, comme les télécommunications, l'or et l'immobilier, commencent à susciter l'intérêt des investisseurs.
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