Investing.com - Les optinos sur l'or ont connu vendredi leur première hausse des quatre derniers jours de cotation, le large affaiblisement du dollar U.S. et leur dégringolade vers un creux des dix dernières semaies entraînant des opportunités d'achat à bas prix pour les investisseurs peu enclins à parier sur une poursuite de la descente.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 661.45 USD de l'once à la clôture des échanges de fin de semaine, grignotant 0.25% au cours de celle-ci, la première positive depuis un mois.
Ils avaient précédement touché le fond jeudi à 1 627.75 USD, leur pire cours depuis le 13 janvier.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 627.75 USD, leur plancher du 22 mars, et de rencontrer de la résistance à 1 682.75, leur plafond du 14.
ls ont rebondi de prè de 1.2% vendredi, leur plus forte ascension journalière depuis le premier mars, alors que l'euro s'élevait vers un pic des rois semaines passées face au billet vert suite à la divulgation d'une rapport montrant que les ventes de logements neufs des Etats-Unis avaient subi en février leur second mois de recul consécutif.
Les prix continuaient à refléter les évolutions du marché des changes, suivant la monnaie unique à la trace, restant davantage sensibles à l'évolution de la parité euro/dollar qu'à l'augmentation de la frilosité, qui est habituellement le moteur de son ascension.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américaine par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, s'est retrouvé sur la sellette, dévissant de 0.54% de son côté pour se situer à 79.53, sa valeur la plus faible depuis le 9 mars.
Les matières premières aux prix libellés en dollars ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises et plus avantageuses en tant qu'investissement alternatif.
Les achats d'opportunité et les couvertures de positions courtes ont également contribué à les soutenir, après un dérapage jeudi dans l'ornière la plus profonde depuis début janvier, à la suite de résultats manufacturiers mondiaux décevants, pesant sur les matières premières et les valeurs liées au risque.
Bien que le métal précieux soit usuellement considéré comme une valeur refuge dans les périodes d'agitation financière et l'incertitude économique, il a suivi ces derniers mois le chemin tracé par les investissements plus audacieux, se comportant davantage comme un matériau brut ordinaire.
Les spécialistes du marché aurifère continuaient à surveiller les conséquences de la grève nationale des joaillers et vendeurs d'or indiens, entraînant un étouffement de la demande sur le marché physique de New Delhi au cours de la semaine dernière.
Leurs boutiques sont restées closes vendredi pour le septième jour de rang, prolongeant le premier mouvement social comparable depuis sept ans, en protestation contre la hausse des droits de douane sur les bijoux non poinçonnés et doublant les taxes à l'importation sur l'or.
La durée de cette impasse demeure incertaine, les vendeurs locaux estimant que l'import pourrait subir une plongée atteignant 35% en 2012, alors qu'un record à 969 tonnes avait été établi l'année dernière, le secteur risquant de connaître des temps difficiles à l'approche de la saison des mariages.
Le pays demeure le premier consommateur mondial.
Le manque de signes forts au niveau technique a par ailleurs poussé les investisseurs à éviter l'établissement de nouvelles positions longues sur le marché, par crainte d'une correction encore plus forte à court terme.
Des spécialistes ont quand à eux fait remarquer qu'avec un niveau bien inférieur aux seuils techniques de support à long terme, les pertes pourraient continuer à se creuser jusqu'à 1 523 USD dans un futur proche avant de rebondir.
Les prix se sont effondrés de près que 8% depuis leur pic à 1 790 USD de février, soit environ 14% au-dessous de leur sommet historique à 1 920 USD établi en septembre.
Ils se sont retrouvés sous pression ces dernières semaines, les fonds de pension et les investisseurs institutionnels abandonnant leurs positions à long terme après que la Réserve Fédérale ait revu mardi ses prévisions économiques à la hausse, les poussant à abandonner l'espoir d'une troisième série d'injections de capitaux de sa part.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs reculé de 1.13% pour sombrer à 32.21 USD de l'once, après avoir établi jeudi un plancher à 31.12 USD, le plus faible niveau depuis le 20 janvier.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles laissé échapper 1.78% pour se retrouver à 3.807 USD la livre dans le même temps, établissant la veille un plus bas niveau des deuxdernières semaines à 3.752.
Les cours du métal rouge ont subi les résultats décevants pointant vers un ralentissement de la croissance de la Chine et de la zone euro, diminuant les perspectives des besoins de l'industrie.
Les acteurs des marchés garderont la semaine prochaine les yeux sur la réunion des ministres des finances de la zone euro de vendredi, qui devrait porter sur la capacité de prêt du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de bouée de sauvetage régionale.
Les Etats-Unis feraont connaître de leur coté leur baromètre de la confiance des consommateurs, le nombre des ventes de logements en cours et le volume de la production des usines, lesquels seront observés de près afin de juger de la vigueur de la reprise nationale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 661.45 USD de l'once à la clôture des échanges de fin de semaine, grignotant 0.25% au cours de celle-ci, la première positive depuis un mois.
Ils avaient précédement touché le fond jeudi à 1 627.75 USD, leur pire cours depuis le 13 janvier.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 627.75 USD, leur plancher du 22 mars, et de rencontrer de la résistance à 1 682.75, leur plafond du 14.
ls ont rebondi de prè de 1.2% vendredi, leur plus forte ascension journalière depuis le premier mars, alors que l'euro s'élevait vers un pic des rois semaines passées face au billet vert suite à la divulgation d'une rapport montrant que les ventes de logements neufs des Etats-Unis avaient subi en février leur second mois de recul consécutif.
Les prix continuaient à refléter les évolutions du marché des changes, suivant la monnaie unique à la trace, restant davantage sensibles à l'évolution de la parité euro/dollar qu'à l'augmentation de la frilosité, qui est habituellement le moteur de son ascension.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américaine par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, s'est retrouvé sur la sellette, dévissant de 0.54% de son côté pour se situer à 79.53, sa valeur la plus faible depuis le 9 mars.
Les matières premières aux prix libellés en dollars ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises et plus avantageuses en tant qu'investissement alternatif.
Les achats d'opportunité et les couvertures de positions courtes ont également contribué à les soutenir, après un dérapage jeudi dans l'ornière la plus profonde depuis début janvier, à la suite de résultats manufacturiers mondiaux décevants, pesant sur les matières premières et les valeurs liées au risque.
Bien que le métal précieux soit usuellement considéré comme une valeur refuge dans les périodes d'agitation financière et l'incertitude économique, il a suivi ces derniers mois le chemin tracé par les investissements plus audacieux, se comportant davantage comme un matériau brut ordinaire.
Les spécialistes du marché aurifère continuaient à surveiller les conséquences de la grève nationale des joaillers et vendeurs d'or indiens, entraînant un étouffement de la demande sur le marché physique de New Delhi au cours de la semaine dernière.
Leurs boutiques sont restées closes vendredi pour le septième jour de rang, prolongeant le premier mouvement social comparable depuis sept ans, en protestation contre la hausse des droits de douane sur les bijoux non poinçonnés et doublant les taxes à l'importation sur l'or.
La durée de cette impasse demeure incertaine, les vendeurs locaux estimant que l'import pourrait subir une plongée atteignant 35% en 2012, alors qu'un record à 969 tonnes avait été établi l'année dernière, le secteur risquant de connaître des temps difficiles à l'approche de la saison des mariages.
Le pays demeure le premier consommateur mondial.
Le manque de signes forts au niveau technique a par ailleurs poussé les investisseurs à éviter l'établissement de nouvelles positions longues sur le marché, par crainte d'une correction encore plus forte à court terme.
Des spécialistes ont quand à eux fait remarquer qu'avec un niveau bien inférieur aux seuils techniques de support à long terme, les pertes pourraient continuer à se creuser jusqu'à 1 523 USD dans un futur proche avant de rebondir.
Les prix se sont effondrés de près que 8% depuis leur pic à 1 790 USD de février, soit environ 14% au-dessous de leur sommet historique à 1 920 USD établi en septembre.
Ils se sont retrouvés sous pression ces dernières semaines, les fonds de pension et les investisseurs institutionnels abandonnant leurs positions à long terme après que la Réserve Fédérale ait revu mardi ses prévisions économiques à la hausse, les poussant à abandonner l'espoir d'une troisième série d'injections de capitaux de sa part.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs reculé de 1.13% pour sombrer à 32.21 USD de l'once, après avoir établi jeudi un plancher à 31.12 USD, le plus faible niveau depuis le 20 janvier.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles laissé échapper 1.78% pour se retrouver à 3.807 USD la livre dans le même temps, établissant la veille un plus bas niveau des deuxdernières semaines à 3.752.
Les cours du métal rouge ont subi les résultats décevants pointant vers un ralentissement de la croissance de la Chine et de la zone euro, diminuant les perspectives des besoins de l'industrie.
Les acteurs des marchés garderont la semaine prochaine les yeux sur la réunion des ministres des finances de la zone euro de vendredi, qui devrait porter sur la capacité de prêt du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de bouée de sauvetage régionale.
Les Etats-Unis feraont connaître de leur coté leur baromètre de la confiance des consommateurs, le nombre des ventes de logements en cours et le volume de la production des usines, lesquels seront observés de près afin de juger de la vigueur de la reprise nationale.