Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, se retrouvant dans une ornière de deux mois et demi par rapport à son homologue japonais, qui profitait de l'angoisse d'un serrage des boulons de la part des principales banques centrales, faisant bouder les valeurs risquées et poussant vers les refuges.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 1,89% pour se retrouver à 94,17.
Le billet vert a plongé de plus de 2% contre son homologue nippon à l'ouverture dans le sillage du dérapage à l'aube de la bourse de Tokyo, l'éventualité d'une réduction dès cette année des apports de capitaux des banques centrales ayant entraîné une désaffection envers les investissements risqués et la monnaie américaine.
La Banque du Japon avait déjà déçu en début de semaine en ne proposant pas de solutions pour limiter le chaos règnant sur le marché obligataire du pays, et cet immobilisme, ainsi que la question de l'éventuelle réduction dès cette année des injections de liquidités de la Réserve Fédérale, laissaient craindre une fermeture des vannes des autorités monétaires.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,06% pour grimper à 1,3342.
Le billet vert a par contre repris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0,14% pour glisser à 1,5656.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,17% pour tomber à 0,9190.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD arrachant 0,07% pour monter à 0,9488, le NZD/USD se rétractant de 0,59% pour toucher le fond à 0,7933 et l'USD/CAD régressant de 0,25% pour aller vers 1,0186.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait maintenu son taux à 2,5% à l'issue de sa réunion de ce matin, ajoutant s'attendre à son maintien pour le reste de l'année.
Il avait d'autre part été révélé peu après l'ouverture que le taux de chômage national avait reculé depuis 5,6% vers 5,5% pour mai, avec la création de 1.100 emplois, alors que 9.800 suppressions étaient redoutées.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,32% pour se situer à 80,90.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 1,89% pour se retrouver à 94,17.
Le billet vert a plongé de plus de 2% contre son homologue nippon à l'ouverture dans le sillage du dérapage à l'aube de la bourse de Tokyo, l'éventualité d'une réduction dès cette année des apports de capitaux des banques centrales ayant entraîné une désaffection envers les investissements risqués et la monnaie américaine.
La Banque du Japon avait déjà déçu en début de semaine en ne proposant pas de solutions pour limiter le chaos règnant sur le marché obligataire du pays, et cet immobilisme, ainsi que la question de l'éventuelle réduction dès cette année des injections de liquidités de la Réserve Fédérale, laissaient craindre une fermeture des vannes des autorités monétaires.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,06% pour grimper à 1,3342.
Le billet vert a par contre repris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0,14% pour glisser à 1,5656.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,17% pour tomber à 0,9190.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD arrachant 0,07% pour monter à 0,9488, le NZD/USD se rétractant de 0,59% pour toucher le fond à 0,7933 et l'USD/CAD régressant de 0,25% pour aller vers 1,0186.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait maintenu son taux à 2,5% à l'issue de sa réunion de ce matin, ajoutant s'attendre à son maintien pour le reste de l'année.
Il avait d'autre part été révélé peu après l'ouverture que le taux de chômage national avait reculé depuis 5,6% vers 5,5% pour mai, avec la création de 1.100 emplois, alors que 9.800 suppressions étaient redoutées.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,32% pour se situer à 80,90.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.