Investing.com - Les options sur l'or étaient ont connu un regain de vigueur ce mardi, la forte baisse d'hier ayant créé des opportunités d'achat à bas prix pour les investisseurs, tandis que les craintes lies à la crise de la dette souveraine de la zone euro continuaient à en soutenir l'attrait.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 823.55 USD de l'once en fin de séance asiatique, prenant 0.72%.
Ils avaient précédement culminé à 1 836.15 USD, leur meilleur cours du jour, avec 1.06% d'augmentation.
La journée de lundi les avait pourtant vus s'effondrer de près de 2.5%, la dégringolade des marchés boursiers ayant poussé leurs acteurs à revendre leurs stocks du métal précieux afin de couvrir leurs autres pertes.
La baisse des prix a toutefois déclenché des acquisitions à vil prix de la part de concurrents peu enclins à parier sur une poursuite de la descente, en raison de la persistance du spectre hantant la zone euro et de l'angoisse concernant les perspectives économiques mondiales.
Le quotidien Financial Times a annoncé ce lundi que le ministère des finances italien serait en négociation avec des représentants de la Chine, afin que celle-ci acquière des volumes "importants" de dettes de l'Italie et investisse dans ses entreprises.
Les dividendes des obligations italiennes ont toutefois continué à augmenter à l'orée de la vente aux enchères de bons du trésor à venir dans la journée.
Les cours ont gardé le soutien de l'appréhension d'un possible défaut de paiement grec et de l'hypothèse selon laquelle l'agence Moody's Investor Services pourrait rabaisser en cours de semaine sa notation des plus grosses banques françaises, à savoir la BNP Paribas, la Société Générale et le Crédit Agricole, en raison de leur vulnérabilité à la dette grecque.
Morgan Stanley, une des banques d'affaires les plus influentes de Wall Street, a rappelé dans un rapport publié hier soir qu'elle gardait une vision positive du futur de l'or, invoquant "une extraordinaire combinaison de défis macroéconomiques, avec notament les risques systémiques touchant la finance, la crainte d'une récession à double tranchant et des taux d'intérêt restant à leurs planchers".
Elle a ajouté s'attendre à voir les cours s'établir à une moyenne de 1 819 USD l'once pour le restant de l'année et à 2 085 USD pour 2012.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs engrangé 1.6% pour se hisser à 40.86 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont fléchi de 0.18% pour se retrouver à 3.989 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 823.55 USD de l'once en fin de séance asiatique, prenant 0.72%.
Ils avaient précédement culminé à 1 836.15 USD, leur meilleur cours du jour, avec 1.06% d'augmentation.
La journée de lundi les avait pourtant vus s'effondrer de près de 2.5%, la dégringolade des marchés boursiers ayant poussé leurs acteurs à revendre leurs stocks du métal précieux afin de couvrir leurs autres pertes.
La baisse des prix a toutefois déclenché des acquisitions à vil prix de la part de concurrents peu enclins à parier sur une poursuite de la descente, en raison de la persistance du spectre hantant la zone euro et de l'angoisse concernant les perspectives économiques mondiales.
Le quotidien Financial Times a annoncé ce lundi que le ministère des finances italien serait en négociation avec des représentants de la Chine, afin que celle-ci acquière des volumes "importants" de dettes de l'Italie et investisse dans ses entreprises.
Les dividendes des obligations italiennes ont toutefois continué à augmenter à l'orée de la vente aux enchères de bons du trésor à venir dans la journée.
Les cours ont gardé le soutien de l'appréhension d'un possible défaut de paiement grec et de l'hypothèse selon laquelle l'agence Moody's Investor Services pourrait rabaisser en cours de semaine sa notation des plus grosses banques françaises, à savoir la BNP Paribas, la Société Générale et le Crédit Agricole, en raison de leur vulnérabilité à la dette grecque.
Morgan Stanley, une des banques d'affaires les plus influentes de Wall Street, a rappelé dans un rapport publié hier soir qu'elle gardait une vision positive du futur de l'or, invoquant "une extraordinaire combinaison de défis macroéconomiques, avec notament les risques systémiques touchant la finance, la crainte d'une récession à double tranchant et des taux d'intérêt restant à leurs planchers".
Elle a ajouté s'attendre à voir les cours s'établir à une moyenne de 1 819 USD l'once pour le restant de l'année et à 2 085 USD pour 2012.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs engrangé 1.6% pour se hisser à 40.86 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont fléchi de 0.18% pour se retrouver à 3.989 USD la livre dans le même temps.