Les valeurs à suivre à Paris et en Europe

Reuters

Publié le 17/08/2018 09:15

Mis à jour le 17/08/2018 10:10

Les valeurs à suivre à Paris et en Europe

PARIS (Reuters) - Les valeurs à suivre vendredi à la Bourse de Paris et en Europe, où les contrats à terme sur indices suggèrent une ouverture en légère hausse pour le CAC 40 à Paris mais en repli pour Francfort, Londres et le Stoxx 600:

* AIR FRANCE-KLM (PA:AIRF). Le conseil d'administration de la compagnie aérienne a officialisé jeudi soir la nomination de Benjamin Smith, numéro deux d'Air Canada, au poste de directeur général, avec le soutien de l'Etat français mais la méfiance des syndicats du transporteur franco-néerlandais.

* A.P. MOELLER-MAERSK a annoncé vendredi son intention de scinder ses activités de forage en mer au sein d'une société indépendante appelée à être cotée en Bourse de Copenhague l'an prochain. Le groupe danois prévoit aussi, une fois cette scission bouclée, de distribuer à ses actionnaires une "part substantielle" de sa participation résiduelle dans TOTAL (PA:TOTF).

* Les valeurs du secteur des SEMI-CONDUCTEURS pourraient souffrir des prévisions inférieures aux attentes de Wall Street présentées jeudi soir par le groupe américain Applied Materials, dont l'action perdait 4% dans les transactions hors séance.

* ROYAL BANK OF SCOTLAND a annoncé vendredi que sa directrice financière adjointe, Katie Murray, assurerait l'intérim de la direction financière après le départ du titulaire actuel du pose, Ewen Stevenson, le 30 septembre. Le groupe bancaire précise avoir lancé la recherche d'un nouveau directeur financier.

* SCHINDLER - Le groupe suisse spécialisé dans les ascenseurs et les escalators a publié vendredi un carnet de commandes et un bénéfice trimestriels supérieurs aux attentes et relevé sa prévision de chiffre d'affaires annuel.

* VOPAK - Le spécialiste néerlandais du stockage et du transport de produits pétroliers et chimiques a fait état vendredi d'une baisse de son excédent brut d'exploitation (Ebitda) trimestriel, conséquence d'un recul du taux d'utilisation de ses terminaux pétroliers.