Voltalia : vents porteurs et signal d’achat

 | 09/12/2020 13:16

Publié à l'origine sur la Bourse au quotidien.fr

En ce milieu de semaine, notre expert de l’analyse Gilles Leclerc s’est penché sur le cas boursier de la midcap Voltalia. La valeur est actuellement recherchée dans un contexte général d’engouement pour les technologies vertes. Reste à savoir s’il n’est pas trop tard pour investir dessus…

Zoom sur Voltalia, constructeur et exploitant de centrales électriques à partir d’énergies renouvelables. D’une manière générale, le secteur est promis à un fort développement au cours des années à venir, à la faveur de plans d’investissement généreux qui plus est soutenus par les gouvernements.

De la nécessité impérieuse à lutter contre le réchauffement climatique à l’intensification du recyclage, en passant par la transition énergétique, l’écologie a le vent en poupe et est l’un des must de cette fin d’année en Bourse, comme l’expliquait déjà mon confrère Mathieu Lebrun dans cet article.

L’action Voltalia affiche quant à elle un gain très respectable de près de 51% depuis le début de l’année, mais s’inscrit en baisse d’environ 3% sur un mois, ce qui tranche avec le comportement d’autres valeurs liées de très près ou d’un peu plus loin à l’environnement comme Global Bioenergies (PA:ALGBE), Enertime ou Amoeba (PA:ALMIB) dans cet intervalle.

Ce dossier est-il moins intéressant ? Eh bien non, car le titre est en train de donner un nouveau signal d’achat qui libère un potentiel de hausse de l’ordre de 25%… pour commencer.

Plus exactement, ce sont deux signaux qui sont actuellement en train de se valider.

Objectif 24,50 € !
Le premier est d’ordre graphique, car après avoir touché à plusieurs reprises le support horizontal « S » (cf. les flèches blanches sur le graphique ci-après), l’action est en train de franchir une résistance oblique de court terme (en rouge). Il devrait en découler un nouveau mouvement haussier, avec la zone des 21 € en ligne de mire dans un premier temps (« O1 »), puis un retour sur les plus hauts, c’est-à-dire autour des 24,50 € (« O2 ») dans un second.