A l’image de lundi, la séance du jour sera peu animée en matière de statistiques économiques. Il n’en demeure pas moins que le reste de la semaine sera rythmée par une salve de données économiques et les derniers commentaires de Donald Trump à l’égard du dollar américain. Par ailleurs, le symposium économique de Jackson Hole (Wyoming – Etats-Unis) se déroulera du 23 au 25 août. Outre les discours des principaux banquiers centraux (J.Powell, H.Kuroda et M.Draghi), nous nous intéresserons à l’évolution des politiques monétaires dans un contexte politique et commercial relativement instable. Sur le front des entreprises, nous assisterons à la publication des résultats de BHP Billiton (LON:BLT), Seadrill Partners et de TJX. Enfin, les indices asiatiques ont terminé la séance en ordre dispersé. A Tokyo, le NIKKEI 225 a gagné 0,09 % à 22 919,79 points.
Une « Trump policy » remise en cause par la Fed ?
Sur le volet des changes, le dollar américain s’inscrit en baisse face à l’euro, la livre sterling et le yen. Comme évoqué en introduction, la devise américaine est pénalisée par les derniers propos de Donald Trump. Ce dernier s’est déclaré « peu emballé » par la politique monétaire de la Réserve fédérale (Fed). « Je ne suis pas emballé par son relèvement des taux d’intérêt, non, je ne suis pas emballé. Nous négocions de manière forte et énergique avec d’autres nations. Nous allons en sortir vainqueurs. Mais, pendant cette période je devrais être soutenu par la Fed. Les autres pays ont une politique monétaire accommodante », a indiqué le président des Etats-Unis. Enfin, nous anticipons une poursuite du mouvement haussier sur la paire EURUSD et estimons qu’elle pourrait retrouver le niveau des 1,1550 $ à court terme.
Les prix du pétrole restent relativement résilients alors que la toile de fond est incertaine. Les opérateurs sont focalisés sur l’augmentation des stocks aux Etats-Unis, l’issue des discussions sino-américaine et les sanctions contre l’Iran. Le contrat WTI a terminé hier en hausse de 0,79 % à 66,43 dollars le baril. Aussi, nous notons que les prix du pétrole sont soutenus par la reprise des négociations entre la Chine et les Etats-Unis. En effet, le vice-ministre chinois du Commerce, Wang Shouwen, et Davis Malpass, sous-secrétaire américain au Trésor, ont prévu de s’entretenir cette semaine afin de définir les contours d’un futur accord.
Une « Trump policy » remise en cause par la Fed ?
Sur le volet des changes, le dollar américain s’inscrit en baisse face à l’euro, la livre sterling et le yen. Comme évoqué en introduction, la devise américaine est pénalisée par les derniers propos de Donald Trump. Ce dernier s’est déclaré « peu emballé » par la politique monétaire de la Réserve fédérale (Fed). « Je ne suis pas emballé par son relèvement des taux d’intérêt, non, je ne suis pas emballé. Nous négocions de manière forte et énergique avec d’autres nations. Nous allons en sortir vainqueurs. Mais, pendant cette période je devrais être soutenu par la Fed. Les autres pays ont une politique monétaire accommodante », a indiqué le président des Etats-Unis. Enfin, nous anticipons une poursuite du mouvement haussier sur la paire EURUSD et estimons qu’elle pourrait retrouver le niveau des 1,1550 $ à court terme.
Les prix du pétrole restent relativement résilients alors que la toile de fond est incertaine. Les opérateurs sont focalisés sur l’augmentation des stocks aux Etats-Unis, l’issue des discussions sino-américaine et les sanctions contre l’Iran. Le contrat WTI a terminé hier en hausse de 0,79 % à 66,43 dollars le baril. Aussi, nous notons que les prix du pétrole sont soutenus par la reprise des négociations entre la Chine et les Etats-Unis. En effet, le vice-ministre chinois du Commerce, Wang Shouwen, et Davis Malpass, sous-secrétaire américain au Trésor, ont prévu de s’entretenir cette semaine afin de définir les contours d’un futur accord.