Investing.com - Les bourses européennes retenaient leurs souffles ce mercredi matin, le moral se trouvant mis à mal par les propos tenus par un haut responsable de l'autorité monétaire régionale et le rabaissement de l'appréciation de l'Italie.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,04%, mais le CAC 40 français arrachait 0,03%, tandis que le DAX 30 allemand se rétractait de 0,06%.
Jörg Asmussen, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, avait en effet affirmé hier que celle-ci pourrait maintenir ses taux d'intérêt à leur plus faibles niveaux historiques pour encore plus d'une année.
Ces propos faisaient écho à ceux de Mario Draghi, qui en est le président, déclarant la semaine dernière qu'elle ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée", en raison de la faiblesse de l'économie dont elle a la charge.
L'agence de notation Standard & Poor's a quand à elle ramené sa notation de la dette italienne depuis BBB+ vers BBB, invoquant la faiblesse de ses perspectives éconoiques, à seulement deux crans au-dessus des "actifs indésirables", la plaçant aussi sous une perspectiive négative.
La finance était divisée, la Deutsche Bank allemande empochant 1,82%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale se repliaient respectivement de 0,51 et 0,31%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 0,22 et 0,58%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,76 et 0,87%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, le suisse Roche chutait de 0,21% après avoir interrompu la dernière phase des tests cliniques de son Aleglitazar, un traitement expériental contre le diabète, après que des observateurs aient pointé du doigt des problèmes de sécurité et d'efficacité.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,10%, tiré vers le haut par l'avancée de Burberry.
Le revendeur d'articles de luxe bondissait ainsi de 4,27% après avoir déclaré que sa collectioin printemps-été avait davantage contribué à l'augmentation de ses ventes au détail au premier trimestre qu'espéré.
La City n'était pas en reste, HSBC Holdings grignotant 0,35%, la Royal Bank of Scotland et Barclays se portant en tête de peloton avec 1,30 et 1,45%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre souffert, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 0,32%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,57%, leurs concurrents Fresnillo et Polymetal aussi avec 4,05 et 2,47%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi dans l'expectative: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0,06%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas de 0,01% et celles sur le Nasdaq 100 sur un frémissement de 0,11%.
La Réserve Fédérale conclura de son côté la journée avec le compte-rendu détaillé de son dernier conseil d'orientation, après quoi son président Ben Bernanke prendra la parole.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,04%, mais le CAC 40 français arrachait 0,03%, tandis que le DAX 30 allemand se rétractait de 0,06%.
Jörg Asmussen, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, avait en effet affirmé hier que celle-ci pourrait maintenir ses taux d'intérêt à leur plus faibles niveaux historiques pour encore plus d'une année.
Ces propos faisaient écho à ceux de Mario Draghi, qui en est le président, déclarant la semaine dernière qu'elle ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée", en raison de la faiblesse de l'économie dont elle a la charge.
L'agence de notation Standard & Poor's a quand à elle ramené sa notation de la dette italienne depuis BBB+ vers BBB, invoquant la faiblesse de ses perspectives éconoiques, à seulement deux crans au-dessus des "actifs indésirables", la plaçant aussi sous une perspectiive négative.
La finance était divisée, la Deutsche Bank allemande empochant 1,82%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale se repliaient respectivement de 0,51 et 0,31%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 0,22 et 0,58%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,76 et 0,87%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, le suisse Roche chutait de 0,21% après avoir interrompu la dernière phase des tests cliniques de son Aleglitazar, un traitement expériental contre le diabète, après que des observateurs aient pointé du doigt des problèmes de sécurité et d'efficacité.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,10%, tiré vers le haut par l'avancée de Burberry.
Le revendeur d'articles de luxe bondissait ainsi de 4,27% après avoir déclaré que sa collectioin printemps-été avait davantage contribué à l'augmentation de ses ventes au détail au premier trimestre qu'espéré.
La City n'était pas en reste, HSBC Holdings grignotant 0,35%, la Royal Bank of Scotland et Barclays se portant en tête de peloton avec 1,30 et 1,45%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre souffert, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 0,32%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,57%, leurs concurrents Fresnillo et Polymetal aussi avec 4,05 et 2,47%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi dans l'expectative: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0,06%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas de 0,01% et celles sur le Nasdaq 100 sur un frémissement de 0,11%.
La Réserve Fédérale conclura de son côté la journée avec le compte-rendu détaillé de son dernier conseil d'orientation, après quoi son président Ben Bernanke prendra la parole.