Investing.com - Les options sur l'or ont retrouvé le chemin des buts pour la première fois en quatre jours ce mercredi matin, les opérateurs reprenant du service afin de profiter d'occasions d'achat à vil prix découlant de leur récent revers.
Mais ce sursaut avait toutes les chances de demeurer modeste, en raison de rumeurs savamment entretenues au sujet d'une éventuelle réduction des aides de la Réserve Fédérale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.326,80 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0,8%.
Ils avaient auparavant culminé à 1.329,90 USD, leur meilleur cours du jour, avec une poussée de 1,1%, alors que la session précédente les avait vus conclure à 1.316,30 USD, sur un faux pas de 0,8%
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.291,70 USD, leur plancher du 18 septembre, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.366,50 USD, leur plafond du 20.
Les incertitudes sur les orientations onétaires américaines sont en effet revenues après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, ait justifié le maintien du cap de la banque centrale des Etats-Unis.
Il avait affirmé lundi que le rythme de leur reprise demeurait trop lent pour envisager une réduction de la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Ces propos sont venus entretenir la confusion au sujet de la durée de ses aides, après que James Bullard, son homologue de Saint Louis, ait rappelé qu'il n'était "pas exclu" qu'elles soient modérément réduites le mois prochain.
Elle se réunira les 29 et 30 octobre afin d'en décider.
Les cours avaient ainsi connu une flambée dépassant les 4,5% de 18 septembre, après que la Réserve Fédérale ait opté pour le statu quo à l'égard de ses injections de liquidités.
Cette nouvelle avait surpris les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle les réduirait de 10 à 15 milliards d'USD.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les cours semblent être partis pour subir près de 22% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'un assèchement des perfusions d'argent frais avant la fin d'année, au cas où l'é'conomie semblerait guérissante.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs rebondi de 1,05% pour grimper à 21,81 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 0,1% pour se retrouver à 3,266 USD la livre dans le même temps.
Mais ce sursaut avait toutes les chances de demeurer modeste, en raison de rumeurs savamment entretenues au sujet d'une éventuelle réduction des aides de la Réserve Fédérale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.326,80 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0,8%.
Ils avaient auparavant culminé à 1.329,90 USD, leur meilleur cours du jour, avec une poussée de 1,1%, alors que la session précédente les avait vus conclure à 1.316,30 USD, sur un faux pas de 0,8%
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.291,70 USD, leur plancher du 18 septembre, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.366,50 USD, leur plafond du 20.
Les incertitudes sur les orientations onétaires américaines sont en effet revenues après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, ait justifié le maintien du cap de la banque centrale des Etats-Unis.
Il avait affirmé lundi que le rythme de leur reprise demeurait trop lent pour envisager une réduction de la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Ces propos sont venus entretenir la confusion au sujet de la durée de ses aides, après que James Bullard, son homologue de Saint Louis, ait rappelé qu'il n'était "pas exclu" qu'elles soient modérément réduites le mois prochain.
Elle se réunira les 29 et 30 octobre afin d'en décider.
Les cours avaient ainsi connu une flambée dépassant les 4,5% de 18 septembre, après que la Réserve Fédérale ait opté pour le statu quo à l'égard de ses injections de liquidités.
Cette nouvelle avait surpris les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle les réduirait de 10 à 15 milliards d'USD.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les cours semblent être partis pour subir près de 22% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'un assèchement des perfusions d'argent frais avant la fin d'année, au cas où l'é'conomie semblerait guérissante.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs rebondi de 1,05% pour grimper à 21,81 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 0,1% pour se retrouver à 3,266 USD la livre dans le même temps.